The following takes place between 01/01/2011 and 26/12/2011. Ouais, parce que si ce post est publié le 27 décembre, il a été rédigé le 26, c’est pour ça que ça parle de Boxing Day ou de trucs comme ça.
Et aussi, ce post est rédigé entre l’ingestion d’un bol de oyaku, et un bol à venir de soupe à l’oignon (parce que ça va bien avec les sandwiches, par exemple quand on a une réunion – c’est pratique en plus – oui, j’ai maté l’OAV de Toradora qui n’apporte absolument rien de nouveau à l’histoire – but who cares ?) Parce que voyez-vous, le destin, facétieuse notion philosophique qui nous échappe autant qu’à Jack Shephard, se joue une nouvelle fois de moi, en me collant LA MALADIE qui fait chanter les entrailles et danser les estomacs depuis le 23 décembre au soir. C’est joyeux, la mine radieuse et le teint frais que j’ai partagé la dinde avec la petite trentaine de membres familiaux réunis pour l’occasion, comme chaque année. Aujourd’hui, jour de Boxing Day, LA MALADIE semble avoir un peu reculé. Il n’empêche que c’est vaguement fiévreux et inquiet (Ai-je mis trop de farine dans la soupe ? Y ajouter du curry était-il une bonne idée ? Pourquoi diable ma sœur écoute Jeune et Con de cette endive de Saez ?) que je rédige ce post. Aussi, pardonnez mes égarements qui seront certainement plus nombreux qu’à l’accoutumée. Et les réponses aux questions sont : après goûtage, non ; après goûtage, oui ; parce qu’elle a des goûts musicaux globalement pas bons.
MIYO-CHAN !